Diane Lacombe
Biographie : Née à Trois-Rivières au Québec (Canada), Diane Lacombe grandit dans une famille de cinq filles, occupant le deuxième rang, serrée entre deux fortes personnalités. « …Diane n’avait d’autre choix que de se tourner vers elle-même… », dira son père en parlant d’elle. Sa grand-mère maternelle, Hélène B. Beauséjour, est une écrivaine reconnue dans la région de la Mauricie. Dès son plus jeune âge, Diane démontre un goût sûr pour les arts plastiques et elle choisira cette option tout au long de ses études, tant au niveau secondaire, que collégial et universitaire.
À vingt-deux ans, alors installée à Montréal, Diane se découvre une facilité pour l’écriture à l’occasion de petits contrats de rédaction qui l’amènent, bon an mal an, à pratiquer pendant une dizaine d’années, le métier de journaliste à la pige. On la retrouve ensuite au sein d’un service des communications dans un organisme gouvernemental où elle occupe durant une quinzaine d’années un poste de conseillère, gérant les projets d'imprimés, conception et production. De ce travail qui l’a beaucoup comblée, elle affirme : « J’ai renoué avec le graphisme dans ce job qui me permettait de toucher à parts égales le texte et l’image. » Diane demeure attentive à l’aspect visuel des livres et participe à la conception des jaquettes de ses romans en choisissant les images qui y figurent.
À l’hiver 1994, Diane perd sa plus jeune sœur, Marie-Andrée, à qui elle dédicacera son premier roman, convaincue que la défunte lui a inspiré son rythme d’écriture soutenu. L’année suivante, elle visite la Grande-Bretagne avec sa sœur aînée, toutes deux attirées par le monde anglo-saxon européen. C’est à l’occasion de ce voyage de trois semaines que Diane foule pour la première fois le sol écossais où elle fera, en quelques jours et à son insu, provision de rêves qui mijoteront durant cinq ans.
En mars 2000, Diane prend un congé sans solde de six mois et meuble ses jours de pluie par un projet d’écriture qui n’a d’autre but que de la divertir : « Je voulais m’écrire une histoire romantique à souhait, médiévale et qui se déroule en terre anglo-saxonne. En somme, un roman comme j’aime en emprunter à la bibliothèque municipale… », raconte-t-elle. Pour s’amuser, elle envoie ses chapitres au fur et à mesure à ses trois sœurs suspendues à leur courriel, dévorant de semaine en semaine, ce qui s’avère être un enlevant roman feuilleton. De retour à son travail en septembre, elle s’ennuie de ses personnages qui ont maintenu son imagination débridée durant six mois. Sous la pression de ses proches, elle consent à faire une diffusion limitée du roman qu’elle a intitulé Mallaig. Elle le met en page elle-même, le photocopie à 100 exemplaires et le fait relier par une spirale métallique. L’accueil que son public privilégié réserve à cette première oeuvre est inespéré et Diane accepte de présenter le manuscrit à différentes maisons d’édition.
VLB Éditeur manifeste son intérêt à l’été 2001 et publie l’ouvrage en mars 2002 sous le titre La Châtelaine de Mallaig qui connaît aussitôt un très grand succès au Québec en librairie et dans le club de livres Québec Loisirs. Le roman se mérite aussitôt la mention « Coup de cœur » des libraires Renaud-Bray, et est finaliste au Grand Prix littéraire Archambault. À l’étranger, le roman attire l’attention de France Loisirs qui le publie à l’hiver 2003 et en distribue 110 000 copies dans son réseau, percée exceptionnelle pour un roman québécois.
Pressée de pondre une suite par ces milliers de lecteurs, Diane laisse son emploi pour se consacrer entièrement à l’écriture, au printemps 2003. Dès l’été, elle retourne en Écosse alors qu'elle a un roman en cours de rédaction qui, au retour, devient Sorcha de Mallaig. Il est lancé en mars 2004 devant un public piaffant d’impatience depuis la parution de son premier roman, deux ans auparavant. L'accueil à ce nouveau récit à Mallaig sera à la hauteur de l'attente et Diane se laissera gagner par l'idée de faire une trilogie. Mais au lieu de poursuivre les récits en ajoutant une suite à Sorcha, elle choisit de creuser en amont et elle développera un personnage secondaire de La Châtelaine de Mallaig. Celui-ci devient sa troisième châtelaine, L'Hermine de Mallaig. Ses recherches historiques prennent alors une tournure captivante : « La décennie de l'histoire écossaise que je couvre dans ce roman foisonne de faits et de personnages presque invraisemblables au point qu'il m'a été impossible de les contourner dans mon récit. » Le dernier tome de la trilogie s'avère donc être le plus « historique » des trois. Il paraît en avril 2005. À l'automne 2007, un recueil de nouvelles illustrées, intitulé Nouvelles de Mallaig, vient compléter la trilogie de Mallaig.
Oeuvres littéraires :
2007 | NOUVELLES DE MALLAIG |
2006 | GUNNI LE GAUCHE |
2005 | HERMINE DE MALLAIG (L') |
2004 |
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2002 | CHÂTELAINE DE MALLAIG (LA) |
Source : pauselecture.net, edvlb.com/DianeLacombe
Site internet : www.edvlb.com/DianeLacombe
Interview : Diane Lacombe
Danielle Steel
Biographie : Avec 69 best-sellers publiés en France, plus de 560 millions d'exemplaires vendus dans 47 pays et traduits en 28 langues, Danielle Steel est l'auteur contemporain le plus lu et le plus populaire au monde.
Depuis 1981, ses romans figurent systématiquement en tête des listes des meilleures ventes du New York Times. Elle est restée sur les listes des best-sellers pendant 390 semaines consécutives, ce qui lui vaut d'être citée dans " Le Livre Guinness des Records ". Mais Danielle Steel ne se contente pas d'être écrivain. Très active sur le plan social, elle a créé et dirige deux fondations , l’une, la Nick Traina Foundation, du nom de son fils défunt, consacrée aux personnes atteintes de maladies mentales et aux enfants victimes de maltraitances, la seconde, chargée de venir en aide aux sans-abri. Elle s’intéresse par ailleurs passionnément à l’art contemporain. Longtemps propriétaire d’une galerie d’art, elle continue d’organiser et de sponsoriser de nombreuses expositions consacrées à de jeunes artistes de talent.
Danielle Steel a longtemps vécu en Europe et a séjourné en France durant plusieurs années (elle parle parfaitement le français) avant de retourner à New York achever ses études.
Elle a débuté dans la publicité et les relations publiques, puis s'est mise à écrire et a immédiatement conquis un immense public, de tous âges et de tous milieux, très fidèle et en constante augmentation. Lorsqu'elle travaille à un roman (sur sa vieille Olympia mécanique de 1946), Danielle Steel peut s’y consacrer toute la journée et une partie de la nuit. Son exceptionnelle puissance de travail lui permet de mener trois livres de front, construisant la trame du premier, rédigeant le second et peaufinant le troisième, et de s'occuper des adaptations télévisées de ses romans. Toutes ces activités ne l’empêchent pas de donner la priorité absolue à sa vie personnelle. Avec ses huit enfants, elle forme une famille heureuse et unie, sa plus belle réussite et sa grande fierté. En 2002, elle a été faite Officier de l'Ordre des Arts et Lettres. En France, son fan club compte plus de 13000 membres.
Elle partage son temps entre ses résidences de Paris et de San Francisco.
Oeuvres littéraires :
Site internet : www.danielle-steel.fr
Source : fr.wikipedia.org, danielle-steel.fr
Pauline Gill
Biographie : Cadette d’une famille de onze enfants, Pauline Gill est née dans la région de l’Islet, au milieu des Appalaches, là où rien ne la prédestinait à une carrière d’écrivaine à succès.
Passionnée d’études, de recherches et de communications, elle enseigna à tous les niveaux du secondaire et du collégial ainsi qu’à l’Université du Troisième Âge.
Mère de trois enfants, et foyer d’accueil pour deux jeunes filles, Pauline Gill se consacra à leur éducation tout en fondant une école maternelle privée, avec service de garde. Chez elle, les tout petits furent initiés à l’informatique et découvrirent le parrainage avec les aînés de l’ex-Foyer Saint-Antoine de Longueuil. Expérience touchante.
Pauline Gill attendait que ses enfants soient relativement autonomes pour reprendre le travail à l’extérieur et amorcer une carrière d’écrivaine. L’occasion allait lui être offerte sur un plateau d’argent : la tâche de relationniste-rédactrice pour le centre de bénévolat La Mosaïque lui fut confiée ainsi que l’écriture de La porte ouverte, biographie de la pionnière du bénévolat au Québec. Dans la même foulée, elle fut chargée de cours au Collège Marie-Victorin en sociologie, en gérontologie et en Histoire du Québec. Aussi, elle enseigna dans le cadre d’un Dec en sciences humaines pour les cinquante ans et plus. Pendant quatre ans, elle donna des cours de préparation à la retraite.
Elle entreprit, en 1989, une recherche exhaustive visant à prouver l’existence d’une bourgeoisie canadienne française significative à Montréal. Depuis, passionnée d’histoire et soucieuse de sortir de l’anonymat nombre de bâtisseurs et de pionnières de chez nous, elle a fait du roman historique son principal champs d’activité. Auteure de la biographie de la pionnière du bénévolat au Québec, (La porte ouverte, Éditions du Méridien, 1990), Pauline Gill publia Les enfants de Duplessis, en 1991, puis se consacra à des recherches minutieuses portant Victoire Du Sault, la première femme canadienne française à exercer le métier de cordonnière. Cette tétralogie, terminée en 2003, est suivie de deux autres publications à caractère historique : Marie-Antoinette, la dame de la rivière Rouge, (Québec Amérique 2005) et Docteure Irma la louve blanche (Québec Amérique 2006). En novembre 2006, fut publié son premier album jeunesse : Dans les yeux de Nathan (Éditions Bouton d’or d’Acadie), et en février 2007, son premier roman jeunesse : Le miracle de Juliette, Éditions Phoenix.
Sa passion et son expérience en recherches amenèrent Pauline Gill à s’impliquer dans la rédaction des Histoires régionales patronnées par l’INRS, volet société et culture en 1994 et 1995.
Vous devinez donc qu’elle a de nombreux projets sur sa table de travail, tous consacrés aux pionnières et bâtisseurs de chez nous.
Son implication sociale porte sur les causes reliées aux aînés, aux écrivains et à la promotion de la culture francophone.
Oeuvres littéraires :
Source : fr.wikipedia.org, paulinegill.com
Site iternet : www.paulinegill.com
Interview avec Pauline Gill : Pauline Gill
1. caverne-aux-gifs le 08-10-2008 à 21:56:58 (site)
salut chui nouveau sur vef et j'aimerai ke tu passe faire un tour sur mon blog et ke tu me dise se ke ten pense!!
et j'en profite pour te dire ke ton blog est genial!!! et bonne contination pour la suit ^^ amitié
Philip Pullman
Biographie :
Il a vécu durant son enfance en Australie et au Zimbabwe, où il a effectué une partie de sa scolarité. Diplômé de l'Université d'Oxford, il enseigne dans cette ville où il vit avec sa femme et ses deux fils.
La plupart des livres de Philip Pullman sont destinés à la jeunesse, mais il écrit aussi pour les adultes et signe, à l'intention des jeunes spectateurs, des adaptations théâtrales d'œuvres littéraires célèbres.
Oeuvres littéraires :
Publié entre 1995 et 1999, ce cycle est l'un de ses plus gros succès au Royaume-Uni comme en France. Il a été adapté au National Theater de Londres. New Line a adapté le premier tome de la série au grand écran sous le nom de A la croisée des Mondes : La Boussole d'Or (2007). Chris Weitz en est le réalisateur.
Il aurait en préparation un ouvrage intitulé "The Book of Dust" qui sans être une suite, présenterait des informations complémentaires, notamment sur la Poussière, et même les personnages. Il se déroulerait quelques années après la trilogie, avec Lyra alors âgée de 16 ou 17 ans.
Site internet : www.philip-pullman.com
Source : fr.wikipedia.org
Luc Besson
Biographie :
Luc Besson passe son enfance auprès de ses parents, instructeurs de plongée au Club Méditerranée, entre la Grèce et l'ex-Yougoslavie. Un accident l'empêche de poursuivre la plongée à haut niveau.
Il commence dans le cinéma en multipliant les postes d'assistant réalisateur, avant de réaliser son premier long métrage de science-fiction, Le Dernier Combat en 1983, qui lui permet de signer un contrat avec Gaumont pour réaliser Subway en 1985. Fort de ce succès, il entreprend la réalisation d'un film qui lui tient à cœur : Le Grand Bleu. Film mal reçu au festival de Cannes 1988, il devient un phénomène de société et fait l'objet de nombreuses analyses qui tentent d'expliquer son succès auprès des jeunes. Son style proche de l'univers de la publicité installe un fossé entre lui et le monde de la critique. Il a été parfois surnommé « Bulles Caisson » (contrepèterie de son nom).
Le public est au rendez-vous pour ses films suivants : Nikita en 1991 et Léon en 1995. En 1997, il se lance avec Gaumont dans un ambitieux projet de science-fiction : Le Cinquième Élément. Il s'installe à Los Angeles avec la jeune actrice Maïwenn Le Besco et leur fille Shanna. Visant explicitement le marché américain, il place en tête d'affiche Bruce Willis, Milla Jovovich et Maïwenn Le Besco (en diva). Le film devient un des plus gros succès commerciaux d'un film français aux États-Unis (battu depuis par La Marche de l'empereur de Luc Jacquet) et Luc Besson se voit attribuer le César du meilleur réalisateur 1998.
En 2000, Luc Besson fonde sa société de production et de distribution, EuropaCorp, dont l'objectif est de développer un nouveau courant de cinéma grand public en s'appuyant sur des films à succès comme Taxi, Taxi 2, Taxi 3 ou Yamakasi. Il est souvent scénariste des films qu'il produit, privilégiant la distraction et l'action. Cette orientation lui vaut une désaffection, voire un mépris, de la critique et d'une partie de la presse.[1]
Cherchant à s'imposer sur le marché international, il veille néanmoins à conserver le contrôle et la nationalité française de ses films d'un point de vue juridique et fiscal. Au début des années 2000, il est l'initiateur et le moteur de la création de la Cité du cinéma à Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris.
Souvent producteur et désormais à la tête d'un studio très rentable, il n'en continue pas moins de tourner ses propres films : Jeanne d'Arc en 1999, avec Milla Jovovich (le couple divorce cette année-là), puis Angel-A en 2005, film en noir et blanc interprété par Jamel Debbouze et Rie Rasmussen dont l'accueil critique est mitigé et qui n'a pas le succès de ses prédécesseurs auprès du public.
Le 11 septembre 2006, il annonce que Arthur et les minimoys sera son 10e et dernier film[2]. Il décide malgré tout au vu du succès de ce dernier de tourner lui-même la suite.
Le 20 septembre 2006, il annonce qu'il arrête le cinéma et veut se consacrer à l'action citoyenne. Il essaie ainsi de monter une fondation pour aider les jeunes des banlieues.
En septembre 2008, Luc Besson et le publicitaire Christophe Lambert créent l'agence de publicité « Blue », « la première agence française d'advertainment » (mélange entre la publicité - advertising - et le divertissement - entertainment)[3].
Il a quatre filles et un fils de trois unions différentes : Juliette, fille d'Anne Parillaud, Shanna, fille de Maïwenn Le Besco, Thalia, Sateen et Mao, enfants de Virginie Silla.
Oeuvres littéraires :
Site internet : www.luc-besson.com
Source : fr.wikipedia.org
1. ooz le 17-10-2008 à 16:40:31 (site)
j'ai lu ton blog, en commençant par la fin ... et tu fais là un très beau travail.
est-ce que tu as choisi ton pseudo par sympathie particulière pour la fille de "Bulle Caisson" ¿¿¿. Bizoux de la vieille Mama Ooz !!
2. Shana le 17-10-2008 à 19:20:00 (site)
Merci beaucoup pour ton commentaire, Mama Ooz, cela me touche ! Eh non, je n'ai pas choisis ce nom pour cette raison d'autant plus que je ne connais vraiment pas cette émission.
Bisous
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