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Au coeur des mots

posté le 14-02-2010 à 18:10:32

Tout là-bas d'Arlette Cousture

Tout là-bas

D'Arlette Cousture

 

 

 

 

 

 

Édition : Libre Expression

Année : 2003

Pages : 160

Catégorie : Romans dramatiques

Âge : Dès 13 ans

Résumé : L'imagination de l'auteure Arlette Cousture nous entraîne sur l'île d'Harrington Harbour, où se trouve un village parcouru par un trottoir de bois - sa seule et unique rue -, et où vivent des personnages secrets comme leur île. La romancière dévoile les rêves, les espoirs et les drames des gens de cette île de la Côte-Nord. Elle le fait si bien que le lecteur a parfois l'impression d'entendre leurs voix...


Source : edlibreexpression.com


Mon avis : Tout là-bas est un petit roman attendrissant et émouvant dans lequel une plume poétique aux larges esquisses nous dépeint, en de justes et simples mots, l’univers d’un village et de ses habitants. Lu en une journée à peine, j’en ressors la tête débordante de sentiments qu’ils m’ont délégués. Ce n’est pas l’histoire d’une personne, mais plutôt d’un peuple, de villageois qui se soutiennent malgré les embûches du temps. Oui, car dans ce village, les insulaires sont une même famille, ils savent tout et l’intimité est rarement gardée longtemps. Tout de même, nous voyons les liens tissés entre eux, les déchirements qui les tiraillent et les joies éphémères qui percent à l’occasion leurs démons intérieurs. Ce livre est une introspection rapide dans quelques personnages et l’auteur arrive à nous faire vivre une gamme d’émotions, à plonger dans la personnalité de chacun sans s’éterniser dans de vastes descriptions inutiles. Je me suis prise d’attachement pour ce petit village, dont Luke, cet homme handicapé mental qui réussit à nous toucher et à nous chavirer par ses phrases ingénues, mais souvent réalistes. D’autre part, même si Arlette Cousture ne décrit en peu de mots les paysages, je sentais cet attachement à leur terre, je pouvais presque frissonner sous les brises de la mer ou contempler les côtes plongeantes de cette île qui renferme un enchevêtrement de sublimes et terribles histoires.

 

Luke est sans aucun doute mon personnage préféré à cause de son innocence désarmante et pure qui vient nous bousculer jusqu’au tréfonds de notre âme. Je ne peux que sourire en l’imaginant avec sa brouette, portant le courrier aux autres avec la joie candide d’un enfant enfermé dans un corps d’adulte. Attaché à sa Lucy, sa sœur jumelle, et à tous les habitants, il voguera à travers les drames avec ses phrases courtes, mais touchantes, nous dévoilant ses voisins et les pans de leur vie cachés aux yeux de tous. Il y a également Lucy, sa brave jumelle, qui a dû s’incliner devant sa tâche de prendre soin de son frère avec tout l’amour qu’elle peut lui porter, oubliant ainsi un amour de jeunesse qui ressurgira dans sa vie, non sans chavirer un peu celle de Luke. Tout comme il y a Manny, cette bienveillante femme, qui attend encore amoureusement son amant au pied de la porte, ce mari disparu à la suite d’un incident en mer, mais dont elle attend un signe depuis plusieurs années, hélas, sans nouvelles. Elle accueillera un bel étranger qui aura un impact fatal à la fin de l’histoire, une tragédie qui affectera tous les habitants, dont Manny qui se sentira pour le moins coupable d’avoir accueilli un tel étranger. Puis, il y a Jim et Émile, avec leur opulente marmaille qui vivent les émois de la vie avec difficulté, emprisonnés sous le joug incertain de la pauvreté : des enfants implorant les cadeaux singuliers de la vie ; une mère affaiblie par un enfant qu’elle ne peut porter ; un père écroulé sous le poids ténébreux de l’indigence ; et finalement l’aîné, ce tendre fils qui essayera de sauver sa famille, ignorant les conséquences qui en découleront. Je n’ai que compassion à l’égard de ce jeune garçon que j’aurais aimé prendre dans mes bras ou l’éloigner de son épreuve impétueuse. De même que j’aurais aimé accompagner ces habitants lors des obstacles parsemant leur chemin afin de prendre leur main et de les conduire dans des sentiers moins denses, illuminés par le souffle de l’espoir.

 

En somme, j’ai rencontré de merveilleux insulaires au sein du village d’Harrington Harbour, par l’entremise d’un petit roman que j’aurais préféré davantage plus long. Arlette Cousture a une façon bien à elle de pénétrer habilement dans les personnalités de chaque personnages en utilisant une plume familière de notre coin de laquelle se délivre des intonations poétiques qui ne peuvent que ravir mon amour littéraire. Ce n’est peut-être pas un coup de cœur, mais il restera longtemps dans mon esprit, notamment à cause de l’essence fraternelle et solidaire qui exhale du bouquin. Troisième livre de cette auteure, je ne peux qu’honorer son talent que j’apprécie de plus en plus et qui me donne l’envie irrésistible de rencontrer à nouveau la grâce de sa plume dans le premier tome des Filles de Caleb. Après une telle envolée sur une île verdoyante de sentiments, il est certain que je compte découvrir ce volume au cours de l’année.

 

 

 

 

 


 
 
posté le 11-02-2010 à 11:43:23

Guy Gavriel Kay

Guy Gavriel Kay

 

 

 

 

 

 

Biographie : Guy Gavriel Kay est un écrivain canadien, spécialisé dans l'Heroïc Fantasy.

Il a participé à la rédaction du Silmarillion de Tolkien (avec le fils de ce dernier). Il a ensuite publié des romans sous son propre nom.

 

Guy Gavriel Kay est né le 7 novembre 1954 à Weyburn, en Saskatchewan et a grandi à Winnipeg. En 1974, alors qu'il est étudiant en philosophie à l'Université du Manitoba, il est engagé par Christopher Tolkien pour l'assister dans son travail sur le Silmarillion puis il retourne au Canada en 1976 où il poursuit des études de droit à l'université de Toronto où il réside toujours.

Il a ensuite été scénariste de la série The Scales of Justice (1982-1989), produite par la chaine Radio-Canada. C'est à la même époque qu'il publie ses premiers romans, la trilogie fantastique la Tapisserie de Fionavar, (avec l'Arbre de l'Eté, le Feu vagabond et la voie obscure). Cette série, de facture très classique, reçoit un très bon accueil. Le tome 2 (Le feu vagabond) reçoit le prix Casper (renommé prix Aurora depuis 1990) du roman anglais en 1987.

Il développe par la suite un univers plus personnel, souvent qualifié de fantastique historique. Ses romans ont maintenant en commun de se situer dans un monde imaginaire, mais s'inspirant très fortement de l'Histoire. La magie et le surnaturel sont très peu présents, voire absents, contrairement au fantastique classique.

Tigane, La chanson d'Arbonne s'inspirent respectivement de l'Italie et de la France. Guy Gavriel Kay reçoit à nouveau le prix Aurora en 1991 pour Tigane.

Les Lions d'Al-Rassan se situe en Espagne, plus précisément de la fin de la période du califat de Cordoue, et s'inspire notamment de la vie de Rodrigo Diaz de Bivar dit le Cid.

Vient ensuite la série La mosaïque de Sarance, qui s'inspire très fortement de l'histoire de l'empire byzantin sous le règne de Justinien et Théodora (qui dura de 527 à 565).

En 2005, il publie Le Dernier Rayon du soleil, qui se situe maintenant dans le monde viking et anglo-saxon.

Ces romans sont traduits dans le monde entier. Ils se sont vendus plus d'un million d'exemplaires, ce qui fait de Guy Gavriel Kay l'un des auteurs canadiens les plus lus actuellement.

 

Oeuvres littéraires :

Disponible en français
  • Série La Tapisserie de Fionavar :
    • L'Arbre de l'été (The Summer Tree - 1984 , parution poche VF : 1998)
    • Le Feu vagabond (The Wandering Fire - 1986 , parution poche VF : 1998)
    • La Voie obscure (The Darkest Road - 1986 , parution poche VF : 1998)
  • Tigane (tigana - 1990, parution VF : 1998, parution poche VF : 2003)
  • La Chanson d'Arbonne (A Song for Arbonne - 1992, parution VF : 1997)
  • Les Lions d'Al-Rassan (The Lions of Al-Rassan - 1995, parution VF : 1999, parution poche VF : 2005)
  • Série La Mosaïque de Sarance :
    • Le Chemin de Sarance (Sailing to Sarantium - 1998, parution VF : 2001, parution poche VF : 2005)
    • Le Seigneur des empereurs (Lord of Emperors - 2000, parution VF : 2001, parution poche VF : 2005)
  • Le Dernier Rayon du soleil (The Last Light of the Sun - 2005, parution VF française : printemps 2006)
  • Ysabel, (Ysabel" - 2007, parution VF : 2007)
En anglais, non traduits à ce jour
  • Beyond this dark house, recueil de poèmes, 2003
  • Under Heaven (à paraître en 2010)

 

Site internet officiel de l'auteur ( en anglais ) : http://www.brightweavings.com/

 

 

Source : fr.wikipedia.org

 


 
 
posté le 11-02-2010 à 11:36:51

Ysabel de Guy Gavriel Kay

Ysabel

De Guy Gavriel Kay

 

 

 

 

Éditions : Alire

Année : 2007

Pages : 463

Catégorie : Romans de fantasy / fantastiques

Âge : Dès 12 ans

Résumé : Ned, un jeune Montréalais de quinze ans, accompagne son père, Edward Marriner, dans le Midi de la France. Photographe de renommée internationale, Marriner - assisté de Mélanie, Steve et Greg, son équipe technique - a six semaines pour croquer des images inédites de ce magnifique coin de pays, qui regorge de ruines datant de l'époque des Celtes et des Romains.
Mais des événements inquiétants perturbent le séjour de Ned : un inconnu le menace dans la cathédrale d'Aix-en-Provence, un étrange malaise l'affecte aux abords de la montagne Sainte-Victoire, des chiens l'attaquent dans un café... sans compter qu'au cours de la nuit de la Beltaine, une antique fête celtique, il assiste à la « magique » disparition de Mélanie !
Dès lors, Ned comprend que, dans cette contrée plusieurs fois millénaire, des personnages mythiques ne veulent pas mourir et que, d'une mystérieuse façon, il est personnellement concerné par leur histoire.

 

Source : alire.com

 

Mon avis : Mystique… Dès que nous frôlons les pages du roman, nous tombons dans un autre lieu, au sein d’une région où les sites celtiques côtoient la modernité : Aix-en-Provence. Dans cette ville enchanteresse de la France, nous faisons connaissance avec un adolescent contemporain, Ned, qui va s’avérer être un personnage primordial qui ne connaît pas encore son unicité spéciale, transmise de génération en génération… Par contre, je ne me suis guère attardée aux personnages, à lui, à son père photographe venu prendre des images de la noblesse féerique de l’architecture et des paysages accompagné de son équipe. Non, j’étais davantage fascinée par ce lieu que je découvrais par l’entremise de la plume de l’auteur, cette beauté de la France où séjourne encore le passé dans une invisibilité absolue. Je pouvais presque frôler les bâtiments du doigt, sentir la brise de la région, voir les montagnes s’élever… Une surprise délicieuse qui a pétillée parmi les pages. Pour revenir à l’histoire en général, dès le début, le suspense s’installe, nous passons vite à l’enclenchement de l’intrigue. Ned rencontre à la fois Kat, une jeune fille « geek » comme il dit, et un homme énigmatique dans une vieille cathédrale. S’en suivent alors des évènements mystérieux auxquels Ned est confronté et c’est lors de la nuit de Beltaine que la vérité éclate, en même temps que la disparition de Mélanie. Ainsi, les deux adolescents et la famille de Ned se retrouvent détenus dans un triangle amoureux, une histoire d’amour vieille de plusieurs siècles qui aura un impact décisif sur le jeune garçon. L’aventure se combine avec le suspense pour offrir un périple incroyable au lecteur, dont moi qui fut émue par les décors naturels et les énergies celtiques émanant du livre en une aura de fraîcheur. J’aurais adoré rester dans ce monde où il n’y a qu’une mince ligne entre l’utopie et la modernité…

 

Ned est notre guide au fil des pages. Bien qu’il est l’air d’un adolescent entièrement moderne à l’humour sarcastique, nous voyons déjà en lui quelque chose d’unique qui le différencie des autres. À mesure que les évènements l’entraînent dans un univers auquel il n’a jamais touché, il grandit, se détachant peu à peu de son statut d’adolescent en prenant une maturité nouvelle. Il ne voit et ne verra plus le monde de la même manière et n’oubliera jamais les yeux d’Ysabel, cette femme immortelle qui est au cœur de cette histoire, partagée entre deux amours, entre deux hommes d’un peuple opposé. Même moi je ne peux oublier sa douce grâce, cette aura de paix et de charme qui se délivre de son âme. Tournant autour d’elle tels deux orbites en gravitation, il y a les deux hommes, ses deux amours, qui ont une personnalité fort différente et qui se livrent bataille depuis des siècles pour conquérir le cœur de cette gente dame. Ces deux êtres cabalistiques auront besoin de Ned pour la retrouver, ils le surveilleront, car lui et sa famille sont également à sa recherche pour une raison tout autre. Diverses personnes évoluent autour de Ned : il y a son père, photographe professionnel venu faire la cour aux paysages de la France et qui acceptera l’histoire de son fils avec moi de scepticisme que les autres ; sa fameuse amie, Kat, une étrange jeune fille douée de connaissances, pusillanime à ses heures, mais qui a une force téméraire en elle ; sa tante Kim, qui est dotée d’une faculté identique à celle de Ned, comprenant ainsi à la perfection la confusion de celui-ci ; sa mère, revenue de la guerre où elle opère comme médecin pour aider son fils même s’il la tiraille de revoir sa sœur et de plonger au cœur d’une histoire qui dépasse l’entendement ; l’oncle Dave, ombre de sa mère lors de ses voyages humanitaires, un combattant acharné malgré la vieillesse qui amenuise ses forces ; puis il y a enfin l’équipe photographique de son père, Steve, Greg, Mélanie… Les deux premiers n’ont que très peu d’importance, même s’ils usent de leurs moyens pour contribuer dans les recherches en dépit de leur incrédulité lors des prémices de l’intrigue. Dans le cas de Mélanie, femme hardie et érudite de la région, elle est un personnage majeur du récit, car elle joue un rôle crucial dans la quête, nonobstant sa disparition dans les méandres de la nuit de Beltaine. En raison de l’intrigue et des paysages, je n’ai su m’attacher aux personnages, aussi diversifiés soient-ils, sinon le fantôme d’Ysabel. À l’occasion, Ned et Kat m’hérissaient par leurs paroles dénués d’intérêts, langage abject des jeunes contemporains. Quant aux deux ennemis du passé, je n’avais que méfiance envers eux, jusqu’à la fin, où j’ai commencé à avoir un sentiment de compassion à l’égard de Cadell, plus enclin à nourrir de vrais sentiments à l’égard de la belle celte. Mais chut, je ne vous en dis pas plus…

 

Ainsi donc, ce roman, même s’il est loin d'être un coup de cœur, m’a procuré un flot d’aventures, de tableaux mirifiques et d’envoûtements celtiques qui m‘ont fait vibrer. Toutefois, j’aurais aimé que l’écriture de l’auteur, fraîche et fluide aux descriptions bien chargés, soit davantage teintée de profondeur et qu’il nous fasse découvrir les personnages avec une intensité plus élaborée, ceux-ci étant abordés seulement en surface, excluant Ned. À l’occasion, j’avais de la difficulté à accrocher à cause de quelques longueurs, tant du côté des descriptions que du côté des discussions parfois inutiles . Cependant, ce ne sont que les seuls points négatifs puisque j’ai passé un agréable moment de lecture, me laissant l’esprit gorgé d’images légendaires et d’odeurs aromatiques de cette région séculaire qui implore mon âme de venir y faire une expédition. Un petit tour entre les pages de ce livre et vous serez entraînés dans un périple entre les griffes du présent et du passé.

 

Extrait du roman : « Aucun autre ciel ne ressemblait vraiment à ce ciel-là. À n'importe quel moment de l'année, en n'importe quelle saison. Que ce soit une aube froide à la fin de l'automne ou un jour d'été ensommeillé au milieu de la journée dans la stridulation des cigales. Ou lorsque la lame du vent, le mistral, fondait sur la vallée du Rhône ( comme des guerriers l'avaient fait si souvent ), détachant sur le ciel purifié chaque olivier, chaque cyprès, chaque pie, chaque vigne, chaque buisson de lavande, comme s'ils étaient les premiers, l'essence parfaite de leur être même. »

 


 
 
posté le 09-02-2010 à 10:47:43

Actualités littéraires

En ce deuxième mois de l'année, je vous offre ici une récapitulation des

nouveautés littéraires chez deux éditions québécoises, Alire et Hurtubise. Étant donné

que le rythme habituel est revenu à sa cadence et que nous avons dépassé le

fameux mois de Janvier, c'est l'heure pour les lecteurs de sortir leur liste, de se préparer

pour cette merveilleuse année et de se délecter à l'avance des

nouvelles sorties qui feront le bonheur de notre amour littéraire. Chez ces deux

splendides éditions, les bouquins s'annoncent aussi exquis que nous

l'imaginions. Y aura-t-il des coups de coeur ?

 

 

Éditions Alire

 

Les visages de la vengeance de François Lévesque ( 25 février )

La dernière main d'Eric Wright ( 25 février )

Le deuxième gant de Nathasha Beaulieu

Sagapolis de Sylvie Bérard

Jane Yeats ( tomes 1, 2, 3 ) de Liz Brady

L'éblouissement de Joël Champetier

Tueuse de dragons d'Héloïse Côté

Le quartier des agités de Jacques Côté

Le sang des prairies de Jacques Côté

Montréal d'Éric Gauthier

Projet Sao Tomé de Michel Jobin

Brouillard d'automne de Lionel Noël

L'herbe naïve d'Esther Rochon

Le dragon des pierres d'Élisabeth Vonarburg

Le dragon des roses d'Élisabeth Vonarburg

La balance et le sablier d'Élisabeth Vonarburg

 

 

Éditions Hurtubise

 

J'ai eu peur d'un quartier d'autrefois de Patrick Dolet

La force de vivre ( tome 1 ) de Michel Langlois

Pas de mal à une mouche de Maryse Latendresse

L'abri de Stéphane Bertrand

Un bonheur si fragile ( tome 1 ) de Michel David

L'affaire Trystero de Laurent Chabin

Mon vieux de Pierre Gagnon

Le veilleur de Naïm Kattan

Les enfants de Roches-Noires ( tome 1 ) de Anne-Michèle Lévesque

Méchants voisins de Monique De Gramont

Une toute petite mort de Michel Leclerc

La maîtresse du soleil de Sandra Gulland

Haute-Ville, Basse-Ville de Jean-Pierre Charland

La chmabre aux oiseaux de Chris Killen

Chère Laurette ( tome 4 ) de Michel David

Souvenirs d'amour - Le journal de mes vingt ans de Louise Portal

La voix du maître de Benoit Séguin

Les portes de Québec ( tome 4 ) de Jean-Pierre Charland

Marguerite : Les chroniques de Chambly de Louise Chevrier

Raphaëlle en miettes de Diane Labrecque

Olivier ou l'inconsolable chagrin de Nicole Fontaine

Le talisman de Nergal ( tomes 3, 4, 5, 6 ) d'Hervé Gagnon

Pirates ( tomes 2, 3, 4 ) de Camille Bouchard

Nishka de Michel Noël

É-É-Émile de Pierre Roy

Nini de François Thisdale

Venus d'ailleurs d'Angèle Delaunois

La nuit des cent pas de Josée Ouimet

Intra-Muros de Sonia K. Laflamme

La louve de mer ( tome 2 ) de Laurent Chabin

Mensonges et vérités de Norah McClintok

Les perles de Ludivine de Martine Noel-Maw

La piste du lynx d'Anne Bernard Lenoir

Les combats de Jordan de Maryse Rouy

Doubles meurtres de Norah McClintock

Le rêve de l'alchimiste de John Wilson

Les prisonniers du vent de bernard Boucher, Yves Pinguilly et Romain Bally-Kenguet Sokpe

 

 

 

 

 

 


 
 
posté le 09-02-2010 à 09:33:19

Prix des libraires du Québec

Le prix des libraires du Québec

 

 

 

 

Description

 

Créé en 1994 par l'Association des libraires du Québec et le Salon international du livre de Québec, le Prix des libraires du Québec honore les auteurs dont l'œuvre a retenu l'attention des libraires par son originalité et la qualité de son écriture. Il va sans dire que le succès de vente en librairie n'est pas un critère considéré.

 

Site internet : http://www.alq.qc.ca/pdlq/index.php

 

 

Lauréats des dix dernières années ( Romans québécois )


2009 - Le ciel de Bay City de Catherine Mavrikakis

2008 - Parfum de poussière de Rawi Hage

2007 - La fabrication de l'aube de Jean-François Beauchemin

2006 - Nikolski de Nicolas Dickner

2005 - Comment devenir un monstre de Jean Barbe

2004 - La héronnière de Lise Tremblay

2003 - Music-Hall ! de Gaétan Soucy

2002 - Du mercure sous la langue de Sylvain Trudel

2001 - Un dimanche à la piscine de Kigali de Gil Courtemanche

2000 - Les gens fidèles ne font pas les nouvelles de Nadine Bismuth

 

Lauréats des dix dernières années ( Romans hors Québec )


2009 - La route de Cormac McCarthy

2008 - Le rapport de Brodeck de Philippe Claudel

2007 - Extrêmement fort et incroyablement près de Jonathan Safran Foer

2006 - Les cerfs-volants de Kaboul de Khaled Hosseini

2005 - L'ombre du vent de Carlos Ruíz Zafón

2004 - Tout ce que j'aimais de Siri Hustvedt

2003 - Mystic River de Dennis Lehane

2002 - Pilgrim de Thimothy Findley

2001 - Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sijie

2000 - Stupeur e tremblements d'Amélie Nothomb

 

 

 

Source : fr.wikipedia.org

 

 


 
 
 

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