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Au coeur des mots

posté le 23-06-2009 à 18:22:02

La nuit Woolf de Lyne Richard

La nuit woolf

De Lyne Richard

 

 

 

Éditions : Québec-Amérique

Année : 2009

Pages : 222

Catégorie : Jeunesse / Romans d'amour

Âge : Dès 12 ans

Résumé : Le cœur, quand il tombe, comme ça, d’un seul coup, brutalement et avec fracas, quand il tombe au fond du ventre et que tout explose, jamais, jamais je n’oublierai ce que ça fait…

L’amour a mis des étincelles dans les yeux de Virginia avant de tout éteindre, cruellement. Comme la grande Woolf à qui elle doit son prénom, elle se mettra à ramasser des cailloux... Sur la plage, son destin rencontrera celui d’un jeune homme mystérieux, dont le corps se trouve du côté de la suie et des cendres. La mer saura-t-elle apaiser leurs brûlures ?

Dans La Nuit Woolf, son premier roman jeunesse, Lyne Richard aborde les thèmes délicats du chagrin amoureux, du suicide et du vide intérieur. Une splendide histoire d’amour où les arts côtoient la mer et les grands espaces, insufflant un profond désir de vivre, comme si la beauté et l’espoir pouvaient renaître de leurs cendres.

 

Source : maglecture.com

 

Mon avis : Un beau et touchant roman, le premier livre jeunesse de Lyne Richard et sûrement pas le dernier. L'auteure, avec ses mots empreint d'émotions et à travers les paroles de Virginia, nous raconte les deux histoires d'amour qui ont chamboulé sa vie. Après une peine d'amour bouleversante, Virginia, dépressive, retourne au chalet de ses vacances avec sa famille. Elle va choisir de renoncer à la vie dans la mer, mais elle sera sauvée par un mystérieux garçon avec qui elle va vivre une amitié singulière qui se changera vite en une histoire d'amour. Même si le roman se lit assez vite, j'ai été touchée par les mots de Lyne Richard qui a une façon simple et magnifique de raconter l'histoire. En somme, un bon roman à découvrir surtout pour les jeunes qui ont vécu des peines d'amour difficiles et qui ont souvent pensé à atténuer leur souffrance en s'enlevant la vie.

 

Extrait du livre : « L'eau monte. J'en ai maintenant jusqu'à la poitrine. La marée grimpe assez vite. Je n'entends plus que le bruit de l'eau et mon coeur. J'ai l'impression que le pouls de la mer me bat les tempes. Est-ce que la mer garde en mémoire toutes les morts et les désespérances ? Qu'est-ce que ça fait de mourir noyée ? Vais-je étouffer longtemps ou la mer m'emportera-elle dans ses bras, loin, très loin de cette douleur ? »

 


Signatures

 

1. Galate2  le 24-06-2009 à 08:56:56

Connais pas.

2. Allie  le 18-07-2009 à 06:12:45  (site)

Je l'ai noté ce roman car Virginia Woolf m'intéresse beaucoup et comme ce livre est un peu en lien avec Woolf... Je suis contente de lire un avis positif dessus!

3. shana  le 18-07-2009 à 09:47:52  (site)

Tu ne regretteras pas cette lecture, c'est certain. Sourire1

Bises
Shana

 
 
 
posté le 19-06-2009 à 09:03:51

Auguste Angellier

Auguste Angellier

 

 

 

Biographie : Auguste Angellier (1848-1911), poète, enseignant, fut le premier professeur de langue et littérature anglaises de la Faculté des Lettres de Lille, avant d’en être son doyen de 1897 à 1900. Critique et historien de la littérature, il fit sensation à la Sorbonne en attaquant les théories de Taine dans sa thèse sur Robert Burns en 1893.

 

Né le 1er juillet 1848 à Dunkerque (Nord), d'un père maître-plafonnier et d'une mère secrétaire, Auguste Angellier fut scolarisé à Boulogne-sur-Mer après le décès précoce de son père. Son attachement à cette ville ne se démentit jamais.

Jeune homme, il prépare le concours de l'École normale supérieure au Lycée Louis-le-Grand de Paris en 1866. Entre l'écrit et l'oral du concours, il est expulsé du lycée par le censeur qui le considère, à tort selon certains, comme le chef d'un mouvement de révolte concernant la mauvaise qualité de la nourriture à la cantine. Cet épisode catastrophique de sa vie scolaire le pousse à partir, par manque de moyens financiers, pour l'Angleterre où on lui offre un emploi d'enseignant dans un petit pensionnat.

Engagé volontaire au cours de la guerre de 1870, il se retrouve à Lyon puis à Bordeaux. Une infection respiratoire grave le fait rentrer à Paris, pendant la Commune, et, la guerre terminée, il est nommé répétiteur en 1871 au Lycée Louis-Descartes (il avait été enfin autorisé à rentrer dans le giron de l’Instruction publique). Il décroche sa licence peu après.

Reçu au "certificat d’aptitude à l’enseignement de l’anglais", deux ans plus tard, il professe en tant que "Maître-répétiteur" pendant trois ans, période exigée à l’époque avant de pouvoir s’inscrire à l’agrégation. Il obtient ce concours à 28 ans, et enseigne aussitôt au Lycée Charlemagne, jusqu’à son départ en Angleterre en 1878.

Angellier cultive de nombreuses amitiés littéraires, et développe sa sensibilité de poète (sa notoriété lui viendra davantage de son travail universitaire que de son œuvre poétique). Jusqu’à cette période, il hésite entre le journalisme et l’enseignement, mais le congé qui vient de lui être accordé lui permet de s’intéresser au projet de réforme des études de langues vivantes en France (à travers l’étude du fonctionnement des universités anglaises). C’est avec plaisir qu’il s’éloigne un moment de la lourdeur administrative qui lui pèse tant dans sa fonction d’enseignant.

En 1881, un poste de maître de conférences, à Douai, lui ouvre une brillante carrière de professeur d’anglais (la faculté des Lettres de Douai va être transférée à Lille en 1887). Douze années plus tard, il soutient ses deux thèses, chacune consacrée à un poète : la "majeure" à l’Écossais Robert Burns, et la thèse complémentaire à John Keats, thèse rédigée en latin ! Le titre de cette dernière : "De Johannis Keatsii, vita et Carminibus" ; son auteur : Augustus Angellier, literarum doctor in Universitate Insulensi Professor. Même les citations des poèmes de Keats sont en latin (et l’université dont il est question n’est autre que celle de Lille : "Universitate Insulensi").

Dès lors, Angellier porte le titre de Professeur. De plus, il assure la fonction de président du jury d’agrégation d’anglais de 1890 à 1904 ; et dès février 1897, il assume la tâche de doyen, et les lourdes responsabilités administratives qui s’y attachent. En 1902, détachement (sur un poste de maître de conférences) à l’École normale supérieure, puis retour à Lille en 1904.

Auguste Angellier est mort à 63 ans, le 28 février 1911, à Boulogne-sur-Mer.

 

Ses écrits :

Les caresses des yeux

 

 

Source : fr.wikipedia.org

 


Signatures

 

1. horizon66  le 23-06-2009 à 01:45:18

Salut, je me permet de venir chez toi dans ton monde, oui ton blog est très bien. Je te souhaite une belle journée, gros bisous Stéphane

 
 
 
posté le 19-06-2009 à 08:56:16

Samuel Ullman

Samuel Ullman

 

 

 

Biographie : Samuel Ullman (né en 1840 à Hechingen en Allemagne - mort le 21 mars 1924 à Birmingham dans l'Alabama) était un poète et homme d'affaire américain.

Il est aujourd'hui principalement connu pour son poème Youth qui était le favori du Général Douglas MacArthur.

 

Ses écrits :

Être jeune

 

 

Source : fr.wikipedia.org

 


 
 
posté le 19-06-2009 à 08:52:59

Michel Fugain

Michel Fugain

 

 

 

Biogaphie : Michel Fugain est un chanteur compositeur et interprète français, né le 12 mai 1942 à Grenoble.

Après avoir abandonné ses études de médecine (son père était diabétologue), il devient second assistant du réalisateur Yves Robert.

En 1964, il entre aux nouvelles éditions Barclay en tant que « compositeur d'édition » et écrit ses premières chansons. Il est interprété par Hugues Aufray (1966), Hervé Vilard, Dalida, Marie Laforêt, etc.

Il enregistre un premier album en 1967 (Je n'aurai pas le temps, Les fleurs de mandarine) et en 1970, la comédie musicale Un enfant dans la ville.

En 1972, c'est la naissance du « Big Bazar », un groupe de 11 musiciens et 15 autres personnes (en tournée ils étaient jusqu'à 35) : Fais comme l'oiseau (une adaptation de la chanson brésilienne Você Abusou), Une belle histoire, La fête, etc. En 1976, Michel Fugain quitte le Big Bazar qui s'arrêtera quelques années plus tard.

En 1977, naît la «Compagnie Michel Fugain». Avec entre autres Roland Magdane.

En 1979, il fonde un atelier de comédie musicale (un lieu de formation pour jeunes artistes) à Nice, dans les Studios de la Victorine.

Il revient en 1986 avec la chanson Viva la vida.

La mort de sa fille Laurette le 18 mai 2002 est un événement qui l'amène à abréger sa carrière pour ne s'« attacher, désormais, qu'à l'essentiel ».

Après la création d'une comédie musicale, Attention mesdames et messieurs (M6 à l'automne 2005), - qu'il considère comme une erreur monumentale - , qui est à la fois bilan de sa carrière et passage de relais à une nouvelle génération, - les castings et répétitions furent filmés par M6, ce qu'il regrettera par la suite -, il sort en 2007 Bravo et Merci, ultime album sous forme d'hommage à ses « confrères » où il chante des textes offerts par Charles Aznavour, Maxime Le Forestier, ou encore l'un des derniers textes de Claude Nougaro. Il est également parrain du festival d'Auris en Oisans "Des lendemains qui chantent", dont la direction artistique est assurée par Freddy Zucchet.

 

Ses écrits :

Bravo, Monsieur le monde

 

 

Source : fr.wikipedia.org

 

Site internet : www.michelfugain.com

 


 
 
posté le 19-06-2009 à 08:45:53

Rosamonde Gérard

Rosamonde Gérard

 

 

 

Biographie : Louise-Rose-Étiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard, poétesse française, est née le 5 avril 1871 à Paris où elle est morte le 5 avril 1953.

Elle est la petite-fille du maréchal, héros de Wagram. Son parrain est le poète Leconte de Lisle et son tuteur Alexandre Dumas. Dodette était son surnom familier.

 

Son prénom de scène, Rosemonde, lui vient de sa grand-mère, Rosemonde de Valence, fille du comte de Valence et épouse du maréchal Gérard. Dans son ascendance, elle comptait aussi la célèbre Mme de Genlis. Son père était le comte Gérard, fils du maréchal. Orpheline de père, elle avait dans son conseil de famille Alexandre Dumas et Leconte de Lisle.

Rosemonde Gérard avait signé de son vrai nom Les Pipeaux, parus en 1889.

Le 8 avril 1890, Edmond Rostand épouse Rosemonde Gérard à Paris en l'église Saint-Augustin. Cette dernière, qui demeurait alors avec sa mère, 107, boulevard Malesherbes a pour témoin Jules Massenet.

Le jeune ménage vient tout d'abord habiter 107, boulevard Malesherbes et peu après 2, rue Fortuny. C'est là qu'allaient naître Maurice Rostand, puis Jean Rostand. En 1897, les Rostand achetaient, 29, rue Alphonse de Neuville, un petit hôtel qu'ils devaient abandonner en 1900 et vendre ensuite pour se fixer à Cambo-les-Bains.

 

Ses écrits :

L'éternelle chanson

 

 

Source : fr.wikipedia.org

 

 

 


 
 
 

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